Les Fariboles Familles Rurales est une association loi 1901 crée en 1983 par des parents d’élèves se situe à Lavans Les Saint-Claude.

Projet:
Le projet consiste à tracer le parcours de l'eau sur notre commune de la source au robinet et de la maison à la rivière.

Pour notre première sortie, avec le CPIE de Saint-Lupicin assister de Jérôme Fortier


Le rôle de l'eau, l'eau domestique, sous forme de jeu de piste dans Lavans Les Saint-Claude.

 Lavoir le seul en eau, commentaire sur l'utilisation par les habitants de Lavans-Les-Saint-Claude.
Jeu de piste, retrouver l'endroit d'un lavoir qui n'existe plus avec une vielle photographie.(ensemble de maisons autour du lavoir)



 L'eau dans la nature, les petites bêtes que l'on retrouve dans les cours d'eau.
La qualité de l'eau est très importante.( polution )



 Retour au centre et composition d'une maquette sur le cheminement de l'eau jusqu’à la mer.






Journée au lac de Cuttura


 Cycle de l'eau, l'eau et la pollution, thèmes abordés durant la journée.


 Pêche aux petites bêtes aquatique, une découverte pour petits et grands, animateurs compris.
Merci Jérome.


 Dessiner ce que les enfants avaient pris dans leur bocal.
Des artistes en herbes et eau.


Explication sur les petites bêtes que chaque enfants ont pris.
et sur la qualité de l'eau.
Tous les enfants n'avaient pas imaginés tout ce que l'on peux trouver caché sous les cailloux.






Journée découverte au lac de l'Abbaye.
Station de pompage et distribution de l'eau dans les villages en aval.
D’où viens l'eau que nous buvons.
Visite guidée avec un représentant de la SOGEDO










Nous avons comparer les petites bêtes du lac à ceux de la rivière de Cuttura.
Ils n'y a pas tout à fait la même population.



Au Chauvin nous avons découvert un Lapiaz et nous avons parler d'érosion et un peu de géologie.




Visite d'une grotte vers Pratz assez surprenante, pas profonde mais il fallait une lampe afin de voir quelques stalagmites.


Changement de température car dehors nous avions 28 degrés.





STATION D’ÉPURATION

Pour terminer notre semaine sur le cycle de l'eau il fallait terminer sur l'impact de l'homme sur le milieu humide et une visite de la station d'épuration à Lizon.
Toujours en compagnie du representant de la SOGEDO que nous remercions pour ses interventions.








Grand remerciement à Jérôme Fortier du CPIE et le responsable de la SOGEDO.


L’eau et l’Homme dans la commune de Villards d’Héria.


L’eau et l’Homme
dans
la commune
de
Villards d’Héria

L’eau et l’Homme à Villards d’Héria
Il y a très longtemps, des gens se sont installés au bord d’une rivière que nous avons appelé l’Héria. Grâce à cette eau, il pouvait boire, se laver, laver leur linge, leur vaisselle, faire boire leurs animaux, arroser leurs cultures.
Par la suite, les Hommes ont utilisé la force de l’eau pour faire fonctionner des machines, comme les moulins qui bordent la rivière avec leurs roues à aube.
Puis l’eau à permis de faire de l’électricité pour alimenter les usines.
Tout ce travail a attiré de la main d’œuvre, des personnes qui se sont installés aux villages, qui se sont mariés, ont eu des enfants. Il a donc fallu construire des maisons, une mairie, une école et des commerces se sont ouverts.
Il reste dans le village des traces de ce passé pas si lointain…
Ludine










Notre école
Dans notre village coule une rivière nommée l’Héria. Grâce à elle, des Hommes se sont installés et ont fondés le village. Ils ont bâti des usines, construit des maisons et fait notre école. Sur son fronton, nous pouvons lire 1913.
Avant, les filles étaient d’un côté et les garçons de l’autre.
Anouck et Justine












Le moulin à roue à aube
En se baladant dans le village avec Olivier du CPIE, nous sommes passés à côté de chez Ludine, une camarade de classe. Elle vit dans l’ancien moulin. Nous avons observé sa roue à aube qui servait aux meuniers à moudre le grain il y a longtemps.
Dorian

Aujourd’hui                                                                                                                                                                    Il y a longtemps


La farine
Pour fabriquer la farine à l’époque, les paysans emmenaient le blé qu’ils avaient cultivé au meunier pour qu’il le transforme grâce à son moulin. La roue à aube entrainait les engrenages à l’intérieur du moulin et la meule écrasait le grain pour faire de la farine.
Kevin


La tournerie
Dans notre Jura, la tournerie a été utilisée jusqu’à l’arrivée du plastique. A partir de là, les petits ateliers et les entreprises où l’on tournait ont fermé. La tournerie se pratiquait avec du bois local. Grâce à l’Héria, des gens se sont installés car l’eau leur était très utile.
La tournerie sur bois était employée pour fabriquer des objets grâce au tour à bois et à l’aide d’outils de coupe. Beaucoup de formes, simples et complexes, pouvaient être réalisées telles que des quilles et bien d’autres.
Léonie et Lola


Il y a environ un siècle, la majorité de gens de la campagne étaient des paysans. Certains cultivaient leurs terres, d’autres faisaient de l’élevage. Par contre, en hiver, ils ne pouvaient pas faire ces activités donc ils construisaient chez eux des ateliers de tournerie pour passer le temps mais aussi pour gagner de l’argent. Ces personnes étaient des travailleurs saisonniers.
Selen et Justine


Le petit lait
Le petit lait est un liquide que l’on trouve à la surface des yaourts frais ou encore quand on laisse reposer le lait pour faire du fromage. Il est composé à 94% d’eau. Il se nomme aussi « lactosérum ».
Avant, nous nous en servions pour fabriquer du plastique qui s’appelait la Bakélite, mais il n’était pas assez solide pour supporter la chaleur. Alors, nous avons inventé un nouveau plastique appelé la Galalithe composée uniquement de produits chimiques.
Selen et Loïs










Les fenêtres des usines
Avant, les fenêtres des usines servaient à apporter un maximum de lumière naturelle parce qu’il n’y avait pas d’électricité. Elles étaient le plus souvent positionnées au sud du bâtiment, lieu le plus ensoleillé. Elles étaient composées de dizaines de carreaux qui servaient à apporter un maximum de lumière aux ouvriers. A l’arrivée de l’électricité, on a parfois condamné ces fenêtres pour récupérer de l’espace à l’intérieur de l’atelier.
Emilien


Les chéneaux en bois
Avant, dans nos villages, les chéneaux étaient en bois. Ils servaient à récupérer l’eau de pluie qui tombait sur les toits. L’eau finissait dans une citerne et c’était bien mieux que de se la recevoir sur la tête.
Les chéneaux sont présents au pied des pentes du toit.
Anouck et Maëlle

La scierie
Notre Jura est un département très boisé. Nous avons donc différentes essences d’arbres dans nos forêts, voilà pourquoi il y avait beaucoup de scieries jusqu’à il n’y a pas si longtemps. La force de l’eau y était utilisée pour faire fonctionner des machines. Puis, l’électricité à remplacé la force hydraulique comme ça a été le cas à Villards d’Héria.
Dans une scierie, on y débite les troncs d’arbres pour en faire des planches par exemple.
Alix




L’électricité
Il y a longtemps, nous n’avions pas forcément d’électricité dans nos villages, voilà pourquoi les usines avaient beaucoup de grandes fenêtres avec des dizaines de carreaux orientées au sud. Dans les maisons, on s’éclairait à la bougie et ce n’était pas aussi simple que d’actionner un interrupteur. Dans les années 1815-1850, on a commencé à utiliser la force hydraulique pour créer de l’électricité. Dans les villages, certaines retenues d’eau, comme c’est le cas à Villards d’Héria, permettaient d’augmenter ou de réduire le débit d’eau qui faisait tourner les roues à aube dans le but de réguler la production d’électricité en fonction de nos besoins.
Loïs et Paola
(Voir la photo de la scirie)
Les bars et les commerces
Quand le travail s’est développé au bord de l’Héria, des commerces ont fleuri dans la commune comme le café des touristes qui se trouvait non loin de notre école à l’entrée de l’impasse de l’écluse.
Ludine et Paola
 Avant                                                                                                                                                               Maintenant


Les enfants de l'Accueil de Loisirs de Chabot à Saint-Claude découvrent la Bienne et le Tacon

Mercredi 18 avril 2018, les enfants de l'Accueil de Loisirs de Chabot sont partis à la découverte des rivières de Saint-Claude.

C'est sous un soleil radieux, tout au long d'une randonnée à la journée, que les enfants ont pu découvrir les richesses de nos rivières. 

Au programme, découverte de la faune et de la flore, observation le long du parcours des courants de l'eau et des cascades. Découverte des vieux bâtiments et des anciens moulins. 

Les enfants ont pu observer et comprendre l'importance de l'eau pour notre ville!! La balade c'est terminée au Flumen où ils ont pu découvrir la centrale hydraulique et avoir les explications du fonctionnement de celle-ci.


Accompagnée de Jérôme du CPIE, les enfants sont revenus ravis de toutes les découvertes de la journée.


Prochain rendez-vous le 25 avril pour la visite de la station d'épuration et le 30 mai pour les visites du barrage d'Etables et la centrale de Porte-Sachet.